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Pyramide

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Caractéristiques de la pyramide

  • En géométrie, une pyramide est un solide en forme de cône à base polygonale et à n faces triangulaires, reliées à un point appelé l’apex.
  • La base peut être de différentes formes, comme carrée, triangulaire, pentagonale, etc.
  • Les pyramides triangulaires et régulières sont des solides de Platon, tandis que les pyramides carrées et pentagonales régulières sont des solides de Johnson.
  • Toutes les pyramides sont des formes auto-duales et considérées comme des prismatoïdes.

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La pyramide, son origine, sa représentation, ses significations, ses symboles en géométrie sacrée et ses bienfaits

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Qu’est-ce qu’une pyramide ?

En géométrie, une pyramide est un solide conique à base polygonale et à n faces triangulaires (n ≥ 3) reliant la base à un point appelé l’apex. La base est généralement supposée carrée, mais peut être triangulaire, carrée, pentagonale, etc. Les pyramides triangulaires et régulières sont des solides de Platon, tandis que les pyramides carrées et pentagonales régulières sont des solides de Johnson. Toutes les pyramides sont des formes auto-duales et sont considérées comme des prismatoïdes.

L’origine étymologique du mot “pyramide” est incertaine. Il provient du grec ancien πυραμίς, -δος / puramís, -dos qui a été transmis au latin sous la forme pyramis, -idis. Il existe plusieurs théories quant à son origine. Certaines relient le mot à la notion de feu, en se référant à Platon qui voyait dans le tétraèdre régulier (en forme de pyramide) le symbole du feu. D’autres pensent qu’il dérive du mot grec “puros” signifiant “froment”, rappelant que c’était la forme des greniers royaux. Certaines hypothèses avancent une origine égyptienne, soit du mot “haram (ou rem)” qui est le nom en égyptien, soit du mot “pr-m-ous” qui désigne une ligne déterminante de la pyramide en égyptien. Enfin, il est aussi mentionné que ce mot désignait un gâteau de miel et de farine en grec.

Le volume d’un cône, et plus spécifiquement d’une pyramide, est calculé en utilisant la formule V = (1/3)Ah, où A est l’aire de la base et h est la hauteur de la base à l’apex, c’est-à-dire la distance perpendiculaire entre la base et le point le plus haut.

En se basant sur une pyramide à base carrée et un apex de hauteur égale à la moitié de la base, on peut visualiser son volume comme étant un sixième d’un cube formé par six pyramides de cette sorte (en paires opposées) par le centre. Ainsi, “base fois hauteur” correspond à un demi du volume du cube, donc trois fois le volume de la pyramide, ce qui donne bien le facteur un tiers.

De plus, le volume d’une pyramide à base carrée et composée de triangles équilatéraux est le double de celui d’un tétraèdre de même côté, ce qui peut être démontré en utilisant une dissection à moitié. Pour calculer l’aire de la surface d’une pyramide régulière, c’est-à-dire une pyramide dont toutes les faces sont des triangles isocèles identiques, on utilise la formule suivante : A = Ab + (ps/2) où Ab est l’aire de la base, p le périmètre de la base et s la hauteur de la pente le long de la bissectrice d’une face (c’est-à-dire la longueur entre le milieu d’une arête quelconque de la base et l’apex).

Une pyramide est un objet géométrique ayant pour base un polygone quelconque, auquel on relie tous ses sommets à un point unique appelé apex. On parle de pyramide régulière lorsque toutes ses faces sont des polygones réguliers. En général, une hyperpyramide de dimension 4 est un polychore ayant pour base un polyèdre auquel on relie tous ses sommets à un point unique. Le pentachore en est un exemple.

De manière plus générale, une hyperpyramide de dimension n est un polytope à n dimensions, qui a pour base un polytope à n-1 dimensions, et dont tous les sommets sont reliés à un point unique. On peut considérer une hyperpyramide comme l’ensemble de tous les états pris par sa base lors de son rétrécissement progressif jusqu’à l’apex le long d’une médiane centrale (reliant le centre de gravité de la base au sommet) ; tous ces états de la base sont en fait l’intersection de l’hyperpyramide avec des hyperplans parallèles à la base.

L’hypervolume d’une hyperpyramide de dimension n est donné par la formule: Vn = (Bn-1 x h) / n, où Bn-1 est l’hypervolume de la base et h la hauteur.

L’origine de la pyramide

Il y a environ 5000 ans, Snefrou, un souverain égyptien, a révolutionné l’architecture en construisant la première pyramide à faces lisses. Bien que les pyramides de Gizeh soient considérées comme des exemples de perfection géométrique, il est important de se rappeler que leur construction a été le fruit d’un processus complexe et que ces édifices n’ont pas surgi de manière spontanée de l’esprit des architectes.

Les pyramides de Gizeh peuvent donner l’impression d’être des créations surgies de l’esprit d’architectes génies, mais en réalité, leur construction a été le fruit d’un processus complexe et difficile, mené par des ingénieurs de l’époque. Cette impression de perfection a inspiré des théories ésotériques attribuant leur construction à des initiés, des sages ou des extraterrestres, mais il est plus probable que les ingénieurs de l’époque ont dû multiplier les prototypes et surmonter des échecs pour parvenir à construire la première pyramide à faces lisses.

La construction des pyramides remonte au moins au règne de Djéser (2667-2648), qui a fait construire l’édifice à degrés qui domine son complexe funéraire à Saqqarah. Les progrès techniques les plus importants ont été réalisés sous le règne de Snefrou (2613-2589), qui a découvert l’ensemble des techniques nécessaires pour construire les pyramides à faces lisses. Ces techniques ont été reprises par Kheops (2589-2566), qui a construit la première des fameuses pyramides de Gizeh.

Sous le règne de Snefrou, on est passé de la construction d’une série de structures rectangulaires de plus en plus petites, comme c’est le cas dans la pyramide à degrés, à la réalisation d’une pyramide à base carrée aux proportions imposantes. Cette transformation de la forme des tombes royales a entraîné des tâtonnements et des échecs, comme en témoignent les trois pyramides encore debout à Dahchour et à Meidoum, situées respectivement à 25 et 60 kilomètres au sud du Caire.

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La pyramide de Meïdoum

La pyramide de Meïdoum est une grande tour qui émerge de pierres qui l’entourent, elle est saisissante, sur la route qui mène du Caire au Fayoum, comme si elle avait percé la surface du sol depuis un cratère. Il s’agissait à l’origine d’un édifice similaire à celui construit par Djéser à Saqqarah, mais il comportait sept ou huit degrés. Les premières tentatives de lissage des faces ont été réalisées sur cette structure. Les maçons ont comblé les marches en disposant des blocs de pierre et en posant une finition extérieure de qualité pour donner aux faces un aspect uni. Malheureusement, peu de temps après l’achèvement du chantier, le remplissage et la finition ont commencé à s’effondrer, formant peu à peu les hauts tas de pierres d’où émerge aujourd’hui la pyramide à degrés. L’analyse architecturale de ces ruines a montré que l’effondrement était dû à au moins deux facteurs.

La pyramide de Meïdoum est un exemple de la première tentative de lissage des faces des pyramides, qui a malheureusement échoué. Les architectes royaux ont essayé de combler les marches de la pyramide à degrés en utilisant des blocs de pierre, mais ces derniers n’étaient pas solidement fixés et ont fini par s’effondrer, formant les terrils pierreux que l’on peut voir aujourd’hui. Cette expérience a été menée probablement par Snéfrou, successeur de Houni, qui a utilisé la pyramide de Meïdoum pour tester un projet qu’il avait en tête pour sa propre tombe.

La pyramide rhomboïdale de Snéfrou : Un premier pas vers la perfection

La pyramide de Snéfrou, située sur le plateau de Dahchour, a été construite avec l’objectif ambitieux de dépasser celle de Djéser à Saqqarah en termes de hauteur. Malgré des défis techniques et un changement de plan en cours de construction, la pyramide a atteint une hauteur de 105 mètres, presque le double de celle de Djéser. Cette pyramide unique, également connue sous le nom de “pyramide rhomboïdale”, a également été associée à un temple dédié au culte du roi défunt et à la rémunération du clergé.

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La perfection a été découverte

La forme parfaite est trouvée : c’est ainsi que Snéfrou, roi d’Égypte il y a plus de 4 500 ans, a décidé de construire sa deuxième pyramide. Il a confié à ses architectes royaux la tâche difficile de créer un édifice qui surpasserait celui de son prédécesseur, en termes de hauteur, de perfection géométrique et d’harmonie de l’agencement. Le résultat final a dépassé toutes les attentes, la forme parfaite de la pyramide était enfin trouvée, une réalisation révolutionnaire qui a inspiré les générations à venir.

La construction de la nouvelle pyramide, dotée d’une base de 220 mètres de côté, représentait un défi supplémentaire pour les architectes royaux. La tâche consistant à établir l’angle parfait des faces pour qu’elles se recoupent à la pointe de l’édifice était complexe. Cependant, grâce à l’expérience acquise lors des échecs précédents, les architectes réussirent finalement à construire une pyramide à faces lisses parfaite, qui est encore debout à ce jour et est la plus ancienne pyramide à pentes lisses en Égypte. Cette réussite est attribuée à Snéfrou, dont les idées ont été utilisées et améliorées par ses successeurs Kheops, Khephren et Mykérinos.

La réputation de Snéfrou était toute différente dans l’Antiquité, où les pharaons du Moyen Empire, Amenemhat II, Sésostris III et Amenemhat III, choisirent de construire leurs sépultures à Dahchour, en continuant son héritage. Snéfrou avait également été divinisé et adoré en Moyenne-Égypte, avec une ferveur telle que de nombreux parents donnaient des prénoms composés de son nom à leurs enfants, des millénaires après sa mort.

Le culte de Snefrou s’est poursuivi après sa mort, les ouvriers royaux le vénérant pour les mines et les carrières. Il était également associé à la littérature égyptienne, jouant un rôle central dans un conte du papyrus Westcar datant du milieu du 2ème millénaire avant JC. Ce récit le dépeint comme un roi joyeux et recourant volontiers à la magie, bien différent de l’opiniâtre Snefrou qui a construit la première pyramide à faces lisses d’Égypte avec détermination.

Significations de la pyramide

La pyramide est considérée comme un symbole spirituel puissant, faisant partie de la géométrie sacrée. Elle est définie en mathématiques comme un polyèdre à base carrée ou rectangulaire, avec des faces constituées de triangles reliés à un sommet commun. Elle représente l’élévation spirituelle, le passage de l’état humain à l’état divin, le lien entre le monde de l’esprit et celui de la matière et de la vie. Elle symbolise également la détermination, la direction et le principe féminin, notamment en étant associée à l’utérus, comme un contenant.

Les pyramides ne sont pas réservées aux seules constructions égyptiennes, elles sont présentes dans de nombreuses cultures à travers le monde. Certaines exemples incluent les pyramides de Bosnie, La Pyramide des Niches au Mexique, les pyramides à degré de Quirigua au Guatemala, le Temple du Soleil de Konarak en Inde et même la Pyramide du Louvre à Paris. Cette diversité montre que les propriétés symboliques et énergétiques des pyramides étaient comprises et utilisées par différentes civilisations.

Les pyramides étaient souvent utilisées comme des antennes pour capter et transmettre l’énergie de l’univers. Les bâtisseurs de ces structures ont pris soin de choisir les emplacements, les orientations et les proportions pour les pyramides. En Egypte, par exemple, les 4 angles de la pyramide de Gizeh sont parfaitement alignés avec les points cardinaux et les 3 pyramides sont parfaitement alignées, témoignant d’une précision mathématique remarquable.

Symboles de la pyramide à travers les cultures

La pyramide est un symbole puissant doté de nombreuses propriétés thérapeutiques et spirituelles. On peut utiliser cette forme géométrique pour équilibrer l’énergie d’un lieu, d’un objet ou d’une personne, dynamiser l’eau et les aliments, protéger un lieu ou une personne, favoriser la guérison et recharger les minéraux. Elle est également utilisée dans le domaine de l’agriculture pour purifier l’air, améliorer la santé des plantes et des animaux et dynamiser les cultures.

La pyramide est un symbole de puissance, qui peut être utilisé à des fins positives ou négatives. Elle représente l’élévation spirituelle, mais peut également symboliser l’orgueil et la volonté de domination. En tant que construction humaine, elle peut être utilisée pour exprimer la volonté de s’élever au-dessus du monde matériel ou pour étaler son pouvoir. C’est pour cette raison qu’il est important de compléter la pyramide dressée avec la pyramide inversée, qui symbolise l’accueil, l’amour et le renoncement à soi-même.

La pyramide est un symbole fort lié à celui du triangle, qui est considéré comme une figure divine représentant l’harmonie, la sagesse et la Trinité. Il symbolise également la voie vers la transcendance de soi-même et l’unité cosmique. Ensemble, le triangle et la pyramide sont considérés comme la formule synthétique de l’univers, rassemblant le multiple dans l’unité.

La pyramide symbolise à la fois un point de départ et un point d’arrivée, représentant le centre de l’univers et la source cachée de toute chose. Elle est considérée comme un carré traversé par une croix, symbolisant l’équilibre entre l’esprit et la matière, le cercle et le carré, le haut et le bas. Ce centre est considéré comme étant la source de tout déploiement dans l’univers et est comparé à d’autres symboles tels que le centre du cercle, l’axe du monde, le coeur de l’être éveillé, entre autres.

Symbole de la pyramide en franc-maçonnerie et en alchimie

La pyramide a une grande importance en alchimie, car elle est considérée comme un symbole de transformation et d’élévation spirituelle. Selon Hermès Trismégiste, fondateur mythique de l’alchimie, le sommet de la pyramide correspond au Verbe créateur gouvernant toutes les choses créées. De plus, les quatre côtés de la pyramide peuvent symboliser les quatre éléments alchimiques, tandis que le cercle dans lequel elle est inscrite peut représenter l’éther ou la “Quintessence”. L’objectif de l’alchimie est la réalisation de la Pierre philosophale, qui représente un individu nouveau, transformé et éveillé. Le symbole alchimique de la Pierre philosophale est souvent associé à celui de la pyramide.

La pyramide est un symbole important dans la symbolique maçonnique. Elle est associée à des concepts tels que la réconciliation des oppositions, le ternaire sacré, la conscience pure et le temple achevé. Elle est également représentée sur le billet de 1 dollar américain, avec la mention “notre entreprise est couronnée de succès”. La pyramide est utilisée pour représenter le compas ouvert, le delta lumineux, la pierre cubique à pointe, le système descendant d’ateliers maçonniques, et le temple maçonnique.

La pyramide est considérée comme un symbole de progression spirituelle, elle représente la montée vers une compréhension plus profonde de soi et de l’univers. Elle est souvent associée à l’idée de gravir les différents degrés de la connaissance, le sommet de la pyramide représentant l’aboutissement de cette quête. Il est vu comme un lieu d’union et de synthèse, où les opposés se rejoignent, et où l’on peut accéder à une compréhension plus profonde des grands mystères de l’existence.

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Les bienfaits de porter une pyramide en bijou

Il existe de nombreuses façons d’utiliser une pyramide de cristal en fonction de vos besoins et objectifs. Vous pouvez la placer sous un lit pour améliorer le sommeil, la pointer vers une personne ou un objet pour les protéger, l’utiliser pour équilibrer l’énergie d’une pièce en l’orientant vers le nord, la utiliser comme support de méditation pour vaincre les blocages et favoriser l’élévation spirituelle, recharger vos minéraux en les plaçant sous la base de la pyramide, ou encore les thérapeutes énergétiques l’utilisent dans le cadre de leurs soins en la posant sur la zone du corps à travailler. Plus la pyramide est volumineuse, plus son onde de forme s’étend loin et plus son action est puissante.

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