L’opale associée au feu est un minéral considéré comme une pierre précieuse, avec une dimension très particulière par la civilisation romaine. Son origine viendrait du mot sanskrit upala, puis a été surnommé Pandora ou encore impératrice, en l’honneur à l’opale de feu de « l’incendie de Troie », en l’hommage au cadeau reçu par l’impératrice Joséphine de la part du grand Napoléon 1er. La pierre opale de feu possède un passé très riche, elle a inspiré de très nombreux écrivains, qui n’ont pas hésité à la comparer au volcan, par rapport à sa nuance très spécifique. Symbole de purification, la pierre est également associée au feu d’artifice et aux galaxies, avec une valeur toute particulière pour les Romains, qui considèrent sa teinte comme étant un cadeau des dieux, un premier bien très précieux à connotation divine. Dans l’histoire de la mythologie grecque, l’opale de feu à un pouvoir d’immunisation sur soi, délivrant une énergie symbole de vérité et de pureté, mais également tournée vers l’espoir.
Selon les différents récits dans les livres liés à la civilisation mexicaine, la civilisation aztèque utilisée régulièrement la pierre, pour confectionner différents bijoux et ustensiles, qui étaient primordiaux au cours des sacrifices humains et de cérémonie très particulière. Son nom est associé au plumage du colibri, animal vénéré, la plus célèbre pierre de l’histoire mexicaine, est sans aucun contexte, le minéral qui est exposé à Chicago dans le musée Gainger Field . C’est une pierre opale de feu, possédant plus de 35 carats, associée à une broche, symbole du dieu aztèque. C’est une pièce remarquable parmi les différentes variétés existantes, symbole de la civilisation aztèque.
Depuis tout temps, de nombreux livres et de très nombreux tomes ont été écrits sur la pierre, avec ses petits éclats qui n’ont pas cessé de fasciner les scientifiques et les gemmologues. Considérée comme une pierre fine très rare, elle fait régulièrement l’objet de très nombreuses analyses, pour mieux appréhender sa composition moléculaire et chimique. Même si avec les technologies modernes, les scientifiques sont capables de reproduire des diamants ou des rubis, cela reste véritablement différent pour les opales. Par rapport à ce que vous avez pu lire précédemment, la pierre est véritablement emblématique du Mexique, exploitée comme il se doit par la civilisation aztèque, au même titre que le jade dans de nombreux artefacts de cérémonie et dans de très nombreux bijoux.
Par rapport aux autres gemmes existantes, elle ne peut pas être considérée comme un cristal, car la pierre ne possède pas de nuances précises. C’est ce qui la différencie des autres gemmes, avec une composition chimique très particulière. Cela lui donne une dimension très différente, très appréciée par l’humain, qui la considère comme un premier choix. Avec une forte teneur en H20, elle est composée entre 20 et 21 % de cette substance qui aura une importance considérable, sur l’aspect final de la pierre. Lorsque celle-ci est exposée à une chaleur importante, il y a un phénomène de blanchiment qui s’opère naturellement sur la pierre, la nuance est donc variée avec un taux d’hydratation qui permettra d’obtenir un jeu de lumière des plus agréables. C’est pour cela que les opales hydrophanes sont des pierres sans iridescence, une fois que le processus de déshydratation a pu être opéré.
Néanmoins, contrairement à leurs autres consœurs, elles ne sont absolument pas considérées comme des opales nobles. Issue d’une mine de la région de Magdalena, l’opale mexicaine, en moyenne de 22 carats, est caractérisée par sa couleur feu. Se formant dans les anfractuosités de la Roche, elle permet de combler les différents trous de la Roche qui est d’ailleurs soumise à des pressions très importantes. Selon sa structure minéralogique, mais également selon la composition chimique pouvant varier d’une pierre à l’autre, cela entraînera invariablement, une variété de lumière très importante, symbole dans certains cas d’une purification. C’est ce qui fait la grande richesse de la gemme, de diversité et d’apparence très différente. Si parmi les autres minéraux existants, celle-ci est davantage prisée dans le monde de la joaillerie, c’est parce que les éclats et la forme de la pierre sont attrayants. Idéal pour confectionner des bijoux sans pareil, la pierre opale de feu prend véritablement toutes ses lettres de noblesse, avec une couleur si particulière, lorsque celle-ci est produite au Mexique.
Par un réseau naturellement structuré par des sphères de silice, la couleur et la forme de l’opale sont ainsi définies, assurant une diffraction de la lumière par rapport à ces composés internes. Ce sont les sphères de silice, qui jouent un rôle véritablement primordial, pour avoir de petits éclats lumineux discrets, ou au contraire une variété de lumière des plus agréables. Même s’il existe certaines exceptions concernant la pierre, elle se forme généralement dans un milieu sédimentaire, à proximité d’une activité volcanique. C’est le cas pour la région du Mexique, mais également pour la région de l’Australie, elle résulte finalement d’une altération secondaire, à partir de la dissolution d’éléments chimiques qui vont être centralisés à l’intérieur. Cela signifie en d’autres termes que l’opale est le résultat d’une soupe séchée, dans laquelle se sont mélangés différents composés chimiques, liés à l’activité volcanique ou sédimentaire.
Pour que la formation de la pierre opale de feu puisse fonctionner, il est nécessaire que certains critères soient bien évidemment pris en compte et respectés, comme la présence de porosités, une altération continue de la roche par l’eau, une couche imperméable qui va permettre à l’eau de ne pas s’échapper de la roche, ainsi qu’un assèchement progressif, composé d’un mélange de silice et d’eau. Une fois que ces différentes substances sont présentes, la chaleur va être absolument primordiale, dans ce processus de formation, un premier refroidissement à 170° grâce à la présence d’une activité volcanique, ou un refroidissement autour de 45°, à proximité des mouvements tectoniques des plaques, assurant la formation cette fois-ci des opales australiennes.
L’extraction de l’opale noble se déroule de la même manière que l’extraction de n’importe quelle opale commune. Il faut que celle-ci soit libérée de la gangue de la roche, soit par une extraction à l’aide d’outils sophistiqués risquant d’abîmer la pierre, soit en effectuant une extraction manuelle. Dans certains cas, la technique utilisée consiste à utiliser de la dynamite, afin de concasser un maximum de roche, puis de partir à la recherche des différents éclats lumineux, de manière manuelle. Celui-ci représente une alternative fonctionnelle, mais un véritable travail de fourmi pour trouver la bonne pierre opale de feu pour celui qui doit s’atteler à ce travail. Pour le moment, le Mexique reste le deuxième plus gros producteur de la pierre, juste derrière l’Australie, capable d’utiliser des techniques plus modernes.
Différentes recherches archéologiques ont permis de mettre en évidence certains écrits dans des livres ou des tomes, permettant de mieux comprendre les différents moyens employés dans les civilisations plus antiques, pour extraire la pierre.
La pierre a de tout temps inspiré l’homme, comme le célèbre personnage de Cateline dans un monde avec des animaux magiques, tels que le lion ailé dans une tribu isolée des Sajaras.
Mais de nombreuses vertus lui sont associées, permettant de redonner de la joie de vivre et un enthousiasme accru.
N’hésitez pas à lire l’histoire de l’animal du lion ailé, de Cateline et les aventures de la tribu des Sajaras, cela vous apporte une première photo de la fascination que la pierre opale de feu a inspirée.