
POUR TOUT SAVOIR SUR L’ATROPHIE MULTISYSTÉMATISÉE: SES
SIGNIFICATIONS, SES BLOCAGES PHYSIQUES ET ÉMOTIONNELS !
Atrophie multisystématisée (maladie)
L’atrophie multisystématisée (AMS) est une maladie neurodégénérative rare et grave qui affecte plusieurs systèmes du corps humain. Elle se caractérise par une détérioration progressive des cellules nerveuses dans diverses régions du cerveau, provoquant un ensemble de symptômes qui ressemblent à ceux de la maladie de Parkinson, mais qui évoluent généralement plus rapidement. Sur le plan symbolique, cette maladie représente une désorganisation profonde des structures fondamentales qui maintiennent l’ordre et l’harmonie dans l’être. La multiplicité des systèmes atteints évoque une perte de contrôle et d’autonomie, comme si les différentes parties de l’être ne parvenaient plus à communiquer entre elles de façon cohérente. L’atrophie, qui signifie littéralement “sans nourriture”, suggère un manque d’alimentation énergétique ou émotionnelle des aspects essentiels de soi. Comprendre cette maladie au-delà de ses manifestations physiques permet d’explorer les déséquilibres profonds qui peuvent l’accompagner.
Les informations présentées sur cette page relèvent des médecines douces et alternatives. Elles ne remplacent en aucun cas un avis médical, un diagnostic ou un traitement prescrit par un professionnel de santé. En cas de problème de santé, veuillez consulter un médecin ou un spécialiste qualifié.
Qu’est-ce que l’atrophie multisystématisée ?
L’atrophie multisystématisée (AMS) est une affection neurodégénérative rare qui se manifeste généralement après 40 ans, touchant plus fréquemment les hommes. Elle se caractérise par une dégénérescence progressive des cellules nerveuses dans plusieurs régions du cerveau, notamment le cervelet, le tronc cérébral, les ganglions de la base et la moelle épinière. Cette détérioration entraîne des troubles moteurs parkinsoniens (rigidité, tremblements, lenteur), une dysfonction autonomique (hypotension orthostatique, troubles urinaires, dysfonctionnement sexuel), et souvent des problèmes cérébelleux (instabilité, troubles de la coordination). Contrairement à la maladie de Parkinson, l’AMS répond généralement peu à la lévodopa et évolue plus rapidement. La présence d’inclusions cytoplasmiques contenant de l’alpha-synucléine dans les cellules gliales (oligodendrocytes) est caractéristique de la maladie. L’AMS représente un défi diagnostique important car ses symptômes peuvent être confondus avec d’autres maladies neurodégénératives, retardant souvent le diagnostic précis.
Quels sont les blocages physiques de l’atrophie multisystématisée ?
Les blocages physiques de l’atrophie multisystématisée sont multiples et affectent profondément l’autonomie de la personne. Au niveau neurologique, on observe une accumulation anormale de la protéine alpha-synucléine dans les cellules gliales du cerveau, particulièrement dans les oligodendrocytes, perturbant la communication neuronale essentielle. Le système nerveux autonome subit des dysfonctionnements majeurs, entraînant une incapacité à réguler la pression artérielle (hypotension orthostatique), le contrôle de la vessie et des intestins, ainsi que la température corporelle. Les voies dopaminergiques des ganglions de la base s’altèrent, provoquant rigidité, tremblements et bradykinésie. Le cervelet, centre de coordination des mouvements, s’atrophie progressivement, causant des troubles d’équilibre et une démarche instable. La dégénérescence s’étend également aux fonctions respiratoires, avec apnée du sommeil et stridor nocturne. Ces blocages physiques créent un état d’enfermement progressif où le corps devient incapable d’exécuter les commandes que l’esprit lui envoie, générant une profonde frustration.
Quelles sont les causes émotionnelles (désirs bloqués) de l’atrophie multisystématisée ?
Sur le plan émotionnel, l’atrophie multisystématisée peut être associée à des désirs profondément bloqués de liberté et d’expression personnelle. La personne a souvent vécu avec un sentiment persistant de devoir contrôler chaque aspect de sa vie, créant une rigidité intérieure qui finit par se manifester physiquement. Un désir inassouvi de lâcher prise et de fluidité dans les relations sociales et personnelles peut sous-tendre cette pathologie. La nature multisystémique de la maladie reflète potentiellement une vie compartimentée où différents aspects de l’être n’ont pas pu s’intégrer harmonieusement. Le patient a fréquemment réprimé ses élans spontanés et ses intuitions au profit d’une existence structurée et prévisible. La difficulté à déléguer et à faire confiance aux autres pourrait également jouer un rôle, tout comme une profonde frustration liée à l’incapacité de réaliser certains projets de vie essentiels. L’atrophie évoque symboliquement un tarissement progressif de la joie de vivre et de la capacité à nourrir ses passions, comme si la personne s’était progressivement détachée de ses véritables désirs.
Quelles sont les causes mentales (peurs et croyances) de l’atrophie multisystématisée ?
Au niveau mental, l’atrophie multisystématisée peut être associée à des schémas de pensée rigides et à des croyances limitantes. La personne touchée a souvent développé une peur profonde du chaos et de l’imprévu, cherchant constamment à maintenir un contrôle sur son environnement. Une croyance fondamentale que “tout doit fonctionner parfaitement” peut créer une pression interne considérable. La crainte d’être jugé incompétent ou de perdre sa dignité alimente une vigilance excessive qui épuise le système nerveux. Des pensées récurrentes comme “je dois tout gérer seul” ou “je ne peux pas montrer ma vulnérabilité” créent une isolation progressive. La peur d’être un fardeau pour les autres peut également jouer un rôle significatif, tout comme la croyance que la valeur personnelle réside uniquement dans la productivité et l’autonomie. Ces schémas mentaux créent une architecture cognitive inflexible qui finit par se refléter dans la neurologie. La personne peut aussi entretenir l’impression que ses différentes identités sociales (professionnelle, familiale, personnelle) doivent rester séparées, à l’image des systèmes qui se déconnectent dans cette maladie.
Quel est le besoin et le message spirituel sous-jacent de l’atrophie multisystématisée ?
Le message spirituel de l’atrophie multisystématisée invite à une profonde réflexion sur l’interconnexion de tous les aspects de notre être. Cette maladie, qui touche simultanément plusieurs systèmes, nous rappelle que nous sommes des entités holistiques où chaque partie influence l’ensemble. Elle nous encourage à abandonner l’illusion du contrôle absolu et à embrasser l’incertitude comme partie intégrante de l’existence. Le processus de dégénérescence progressive peut être interprété comme une invitation à redéfinir notre valeur au-delà de nos capacités physiques et productives, pour reconnaître notre essence spirituelle inaltérable. Cette condition nous appelle à la vulnérabilité et à l’humilité, nous rappelant que nous sommes fondamentalement interdépendants et que recevoir de l’aide est aussi sacré que d’en offrir. L’atrophie multisystématisée nous pousse à explorer la conscience pure au-delà du corps physique défaillant et à cultiver une présence intérieure qui transcende les limitations corporelles. Elle nous invite finalement à une profonde acceptation de l’impermanence et à trouver la paix dans le lâcher-prise, nous enseignant que notre véritable nature dépasse les contraintes de notre enveloppe physique.